Nicolas Hulot... "tel qu'en lui-même toujours il change"

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Nicolas Hulot, "tel qu'en lui-même toujours il change"... son film "Le syndrôme du Titanic" est sorti mercredi.

La gauche classique l'accuse de ne pas être au niveau de ses ambitions (sponsors, hélicos, amitiés mal placées, etc.)... il y a d'ailleurs une réponse à ça dans la BA ci-dessous.
Les verts, par la voix de Cohn-Bendit, hier, de brandir avec le film une telle notion "d'urgence" qu'elle est incompatible avec la Démocratie... d'ailleurs beaucoup de gens emploient à propos de ce film, les termes "de trop radical".

Reste qu'il a dit lui-même n'être plus du tout persuadé, ces derniers temps, que l'homme puisse s'en sortir (c'est un doute que j'ai aussi, quand je mets bout à bout toutes les nouvelles que nous avons en matière de climat et de chute de la biodiversité)... et surtout pas en sacrifiant les pays du Sud. D'ailleurs, il parait que cela se sent dans le film dont on "sort inquiet, triste, accablé, démoralisé, choqué" selon le Nouvel Obs qui le qualifie de "film-catastrophe".




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